Environ tous les deux ans, dans notre Église, il semble que nous perdions une jeune personne dans un accident tragique. Lorsque le jeune est croyant, il y a de l’espoir et du réconfort, mais il y a aussi toute une série de questions auxquelles il est difficile de répondre. La mort nous amène à réfléchir aux choses qui comptent vraiment. Elle relativise un grand nombre de préoccupations de moindre importance, et elle donne l’occasion aux jeunes et aux moins jeunes de se réunir et de partager entre eux la sagesse et le réconfort des Écritures.
À la suite d’une récente tragédie impliquant un jeune homme qui connaissait et servait le Seigneur, on m’a demandé si je pouvais partager une lettre pastorale que j’avais écrite quelques années auparavant. Cette lettre répondait à un courriel que j’avais reçu d’un fidèle en détresse. La question initiale concernait le ciel et ce qu’il advient des âmes de nos proches qui nous précèdent dans la présence du Seigneur. Je vous la partage dans l’espoir qu’elle puisse être un encouragement pour ceux qui vivent des pertes similaires.
Les détails de la lettre ont été légèrement modifiés et les noms de toutes les personnes impliquées ont été changés pour des raisons de confidentialité.